Over The Top: WWI Steam Store PageNew Game announced! Add Over the Top: WWI to your Steam Wishlist!
0 Members and 1 Guest are viewing this topic.
Je fus très surpris, en rentrant en France, de la haute idée qu'on s'était formée de la Garde impériale et du peu de cas qu'on faisait des voltigeurs, qu'on ne distinguait guère des compagnies du centre. Cependant les voltigeurs ont combattu mille fois plus que la Garde. Ils étaient toujours en tête et elle en réserve. Il ne se tirait pas un coup de fusil sans eux, et la Garde, qui prenait rarement part aux petits combats, donnait presque aussi rarement dans les batailles. Enfin, les voltigeurs étaient l'élite des corps et une partie de la Garde en était le rebut. Quiconque a vu la chose par ses yeux sait que beaucoup de colonels n'envoyaient à Paris que les hommes dont ils voulaient se défaire, tandis que les capitaines de voltigeurs n'admettaient dans leurs compagnies que des soldats d'un courage éprouvé. (Souvenirs du capitaine Desboeufs, p. 205).
Adjudant Kennedy: When I last played with Kennedy, years ago, he couldn’t get a streak of three blocking together. Looking at how much he had improved when I joined the regiment honestly had me speechless. Playing alongside him was a huge pleasure as I’ve hardly saw someone willing to team-play and offering himself so others can take the kills more than he did. He was also an honest figure within the regiment, always saying what he thought without ever sounding mean or arrogant and for that I know he was extremely well appreciated by the other members and also the rest of the NW community. It’s definitely not the place to talk about such things but what happened to him in real-life and the way he reacted to it showed me that Kennedy was certainly one of the strongest person in the regiment and that there is not much capable to take this man down.
fuck erik
yeah fuck erik
fuck Erik
i love erik
fuck erik.
Frais thread.Bon courage pour la suite les Connacht
C'est ce genre d'effort qui me donne envie de revenir sur le jeu.C'est un très beau Thread, fait sérieusement, se qui ne m'étonnes pas venant de John et Romgar.Bon courage les gars.
Une pause on va dire.Si après le BAC ca me prend je reviendrai peut être.Donc je profite de mes peut être derniers post ici pour être gentil et honnête un minimum
Quote from: Bernt on April 21, 2014, 01:59:53 amUne pause on va dire.Si après le BAC ca me prend je reviendrai peut être.Donc je profite de mes peut être derniers post ici pour être gentil et honnête un minimum Bonne chance pour ton BAC en passant
Les voltigeurs ont été institués en 1804, par Napoléon lui-même. La différence entre les tirailleurs et les voltigeurs réside dans le fait que les premiers évoluent de façon irrégulière, en étant éparpillés, tandis que les autres agissent en corps nombreux et rassemblé. Les qualités requises pour être admis dans ces troupes sont une réputation de courage bien établie, une petite taille, de la vigueur et une grande agilité. Leur uniforme est celui de l'infanterie française, avec comme distinction propre le collet jaune. Ils portent la grenade, et jouissent de la même haute paye que les grenadiers, bien que la plupart d'entre eux soient de la plus petite taille. Chaque régiment d'infanterie a une compagnie de voltigeurs, qui marche toujours devant les grenadiers. Au lieu de tambours, ils ont deux trompettes (cornets). Les voltigeurs sont armés d'un fusil court (carabine) et d'un sabre court ; la giberne est fixée sur les reins par une ceinture; d'après les règlements, leur sac doit être très léger. En présence de l'ennemi, les compagnies de voltigeurs de tous les régiments sont rassemblées, formant un corps distinct qui mène l'attaque ; ils sont en général employés à escalader les montagnes (s'il y en a) ou à forcer les passages difficiles; les grenadiers suivent à courte distance, mais c'est le privilège des voltigeurs d'ouvrir la route à la victoire. On leur rappelle, d'ailleurs, à l'occasion, cet honorable avantage. Depuis leur création, les voltigeurs ont été de la plus grande utilité pour les armées françaises.QuoteJe fus très surpris, en rentrant en France, de la haute idée qu'on s'était formée de la Garde impériale et du peu de cas qu'on faisait des voltigeurs, qu'on ne distinguait guère des compagnies du centre. Cependant les voltigeurs ont combattu mille fois plus que la Garde. Ils étaient toujours en tête et elle en réserve. Il ne se tirait pas un coup de fusil sans eux, et la Garde, qui prenait rarement part aux petits combats, donnait presque aussi rarement dans les batailles. Enfin, les voltigeurs étaient l'élite des corps et une partie de la Garde en était le rebut. Quiconque a vu la chose par ses yeux sait que beaucoup de colonels n'envoyaient à Paris que les hommes dont ils voulaient se défaire, tandis que les capitaines de voltigeurs n'admettaient dans leurs compagnies que des soldats d'un courage éprouvé. Aussi aurais-je préféré pour une attaque, commander à trois cents voltigeurs qu'à cinq cents hommes de la Garde. (Souvenirs du capitaine Desboeufs, p. 205).
Je fus très surpris, en rentrant en France, de la haute idée qu'on s'était formée de la Garde impériale et du peu de cas qu'on faisait des voltigeurs, qu'on ne distinguait guère des compagnies du centre. Cependant les voltigeurs ont combattu mille fois plus que la Garde. Ils étaient toujours en tête et elle en réserve. Il ne se tirait pas un coup de fusil sans eux, et la Garde, qui prenait rarement part aux petits combats, donnait presque aussi rarement dans les batailles. Enfin, les voltigeurs étaient l'élite des corps et une partie de la Garde en était le rebut. Quiconque a vu la chose par ses yeux sait que beaucoup de colonels n'envoyaient à Paris que les hommes dont ils voulaient se défaire, tandis que les capitaines de voltigeurs n'admettaient dans leurs compagnies que des soldats d'un courage éprouvé. Aussi aurais-je préféré pour une attaque, commander à trois cents voltigeurs qu'à cinq cents hommes de la Garde. (Souvenirs du capitaine Desboeufs, p. 205).
Quote from: V_3e_Kennedy on April 20, 2014, 11:31:57 pmLes voltigeurs ont été institués en 1804, par Napoléon lui-même. La différence entre les tirailleurs et les voltigeurs réside dans le fait que les premiers évoluent de façon irrégulière, en étant éparpillés, tandis que les autres agissent en corps nombreux et rassemblé. Les qualités requises pour être admis dans ces troupes sont une réputation de courage bien établie, une petite taille, de la vigueur et une grande agilité. Leur uniforme est celui de l'infanterie française, avec comme distinction propre le collet jaune. Ils portent la grenade, et jouissent de la même haute paye que les grenadiers, bien que la plupart d'entre eux soient de la plus petite taille. Chaque régiment d'infanterie a une compagnie de voltigeurs, qui marche toujours devant les grenadiers. Au lieu de tambours, ils ont deux trompettes (cornets). Les voltigeurs sont armés d'un fusil court (carabine) et d'un sabre court ; la giberne est fixée sur les reins par une ceinture; d'après les règlements, leur sac doit être très léger. En présence de l'ennemi, les compagnies de voltigeurs de tous les régiments sont rassemblées, formant un corps distinct qui mène l'attaque ; ils sont en général employés à escalader les montagnes (s'il y en a) ou à forcer les passages difficiles; les grenadiers suivent à courte distance, mais c'est le privilège des voltigeurs d'ouvrir la route à la victoire. On leur rappelle, d'ailleurs, à l'occasion, cet honorable avantage. Depuis leur création, les voltigeurs ont été de la plus grande utilité pour les armées françaises.QuoteJe fus très surpris, en rentrant en France, de la haute idée qu'on s'était formée de la Garde impériale et du peu de cas qu'on faisait des voltigeurs, qu'on ne distinguait guère des compagnies du centre. Cependant les voltigeurs ont combattu mille fois plus que la Garde. Ils étaient toujours en tête et elle en réserve. Il ne se tirait pas un coup de fusil sans eux, et la Garde, qui prenait rarement part aux petits combats, donnait presque aussi rarement dans les batailles. Enfin, les voltigeurs étaient l'élite des corps et une partie de la Garde en était le rebut. Quiconque a vu la chose par ses yeux sait que beaucoup de colonels n'envoyaient à Paris que les hommes dont ils voulaient se défaire, tandis que les capitaines de voltigeurs n'admettaient dans leurs compagnies que des soldats d'un courage éprouvé. Aussi aurais-je préféré pour une attaque, commander à trois cents voltigeurs qu'à cinq cents hommes de la Garde. (Souvenirs du capitaine Desboeufs, p. 205). Tu n'as pas l'impression de te foutre de la gueule du monde ?